Et donc j’ai passé le week-end à discuter en espéranto.
Après seulement deux mois d’apprentissage tranquille (genre lire une méthode un soir sur deux, ou trouver des sous-titres en espéranto pour “Mon voisin Totoro”). Et venant de quelqu’un fâché avec les langues, et qui a toujours eu du mal avec ça.
La vitesse à laquelle on peut arriver à un niveau de conversation, c’est fou ; c’est vraiment facile.